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 Clyde ♦ L'homme véritable veut deux choses : le danger et le jeu. C'est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux.

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Clyde Fitzgerald

Clyde Fitzgerald


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Date d'inscription : 13/07/2011
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Job : Politicien
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MessageSujet: Clyde ♦ L'homme véritable veut deux choses : le danger et le jeu. C'est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux.   Clyde ♦ L'homme véritable veut deux choses : le danger et le jeu. C'est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux. Icon_minitimeMer 13 Juil - 18:59


« Ne faut-il pas commencer par se haïr, lorsque l'on doit s'aimer ? »
Clyde ♦ L'homme véritable veut deux choses : le danger et le jeu. C'est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux. Tumblr_lnte2x1TvH1qdxhvuo1_500
(c)pricelessjo.

    Nom(s) ♦️ Fitzgerald
    Prénom(s) ♦️ Clyde, Louis
    Jour et mois, lieu de naissance ♦️ New York, un douze mai ensoleillé.
    Age ♦️ 27 ans.
    Nationalité ♦️ Américano-américaine.
    Origines ♦️ Néant.
    Statut ♦️ Officiellement marié, officieusement libre comme l'air.
    Occupation professionnelle ♦️ Docteur en sciences politiques, chercheur dans un institut de défense américain, membre du cabinet du maire du NYC.
    Groupe ♦️Les riiiiches.


TEN THINGS WE'D LOVE TO HEAR ABOUT YOU.


♦️ Clyde est l'un des plus jeunes politiciens de la ville de NYC et l'un des plus brillants également : sa thèse magistrale sur le Soft Power en a ébloui plus d'un.
♦️ Sa famille est très influente et le garçon a été toute sa vie tiraillé entre l'envie de s'en détacher brutalement et celle de marcher sur leurs traces pour les dépasser. Il a fait les deux : il ne parle plus à son père et s'est lancé dans la politique - comme lui - mais dans le camp adverse. Prends ça, père.
♦️ Clyde a suivi une thérapie pour son addiction au sexe et aux femmes lorsqu'il avait vingt et un ans. Si en apparence il a l'air parfaitement rangé et mène une vie lisse et sage, le problème est loin d'être réglé et le jeune homme profite de chaque séjour hors de sa ville (où il ne peut pas déraper de peur de salir son image) pour séduire la gente féminine. Il aime tout chez elles : les regarder se mouvoir avec grâce et élégance, leur beauté, la poésie qu'elles dégagent inlassablement. Il est charmé par le moindre détail : un grain de beauté, une robe qui vole, une vivacité d'esprit sans pareil. Même une fille qui perd pied et se met à jurer en pleine rue peut l'émouvoir dans sa fragilité. Enfin, ce qu'il aime par dessus, c'est leur naïveté : les filles sont tellement faciles à séduire.
♦️ Clyde est un homme brillant, érudit et très cultivé. Il aime la musique classique, la philosophie et la littérature. Il est capable de vous expliquer sans ciller une oeuvre de Nietzsche tout en jouant au piano une composition de Tchaikovski. Oui, les deux en même temps.
♦️ Clyde est un redoutable joueur d'échecs et de poker. Il pratique également le tennis à un haut niveau.
♦️ Si le jeune homme ne tarit pas de sourires cyniques et sarcastiques à souhait, il est extrêmement rare de l'entendre rire. Ce mécanisme pourtant naturel chez le commun des mortels semble lui échapper totalement.
♦️ Clyde a longtemps tenu un carnet où il notait scrupuleusement des détails sur ses conquêtes et il est fort probable qu'il recommence prochainement, l'ennui le guettant.
♦️ Le jeune homme est un dépressif qui s'ignore, un être torturé qui se cache derrière une façade lisse comme la pluie. A force de tout avoir sans avoir à se battre pour l'obtenir, Clyde ressent une profonde lassitude pour son existence et la vie en général qu'il considère comme acquise.
♦️ Clyde déteste les desserts et tout met sucré. Viscéralement.
♦️ Clyde s'est toujours refusé à passer le permis et adore plus que tout se faire conduire. Néanmoins, il a le permis moto, aussi paradoxal soit cela.

Citation :
Ici, détaillez-nous dix faits, dix choses se reportant à vos personnages. Ca peut être drôle, triste ou juste anecdotique.

I MUST HAVE TOLD YOU ABOUT THIS.


My life used to suck, but I'm all right now. Hm, almost.

Mrs. Brighton, thérapeute :  « Racontez moi votre premier jour à New York, ou encore un jour qui a pour vous une saveur particulière. Il faut qu'il ait lieu durant votre enfance ou votre adolescence. Remontez quelques années en arrière. »

« Je tairai ma première journée à New-York. Non pas qu'elle soit inintéressante, loin de là - sachez que rien ne me concernant n'est totalement dénué d'intérêt - mais... je doute qu'elle vous fascine réellement. Puisqu'en réalité, je suis né dans cette ville. Alors à moins que le formidable récit d'un bébé à peine âgé de quelques jours revenant d'une clinique privée dans les bras de sa gouvernante éveille votre curiosité, je pense que nous pouvons avancer. Oui, vous avez bien lu "gouvernante" et non "mère". A peine né, déjà délégué à du petit personnel. Il faut dire que ma mère se sentait soit-disant trop "faible" pour s'occuper de moi tandis que mon père était en déplacement à l'étranger, à la rencontre de je-ne-sais-plus-quel ambassadeur. Je devrais m'en souvenir, pourtant. Parce que sa rencontre avec ce type forcément insipide est son moyen mnémotechnique de se rappeler mon anniversaire. Pitoyable, n'est-ce pas ? Et comment ! Après, on ose se demander pourquoi je méprise cet homme autant que je l'admire. Parce qu'il est détestable, putain. Pardonnez-moi ce langage, je ne jure jamais. Mais nous sommes entre nous et le sujet de mon paternel est plutôt sensible. Je crois que qu'importe mes efforts, il ne voit rien en moi de plus qu'un Dom Juan qui ne peut pas la garder dans le pantalon. Oh, il n'est pas foncièrement tort. Il est vrai que j'aime les femmes et qu'elles me le rendent bien. Mais ce n'est qu'une façon comme une autre d'occuper la vacuité de mon existence. Tout est si facile dans ce monde, que je m'en lasse comme de rien. Mon grand malheur est d'être né dans cette famille, où je ne peux même pas briller à ma juste valeur. Parce que je viens d'un milieu favorisé, tout m'est dû. Parce que tout m'est dû, je n'ai aucun mérite. J'ai beau être brillant, cultivé, plein d'esprit et plutôt séduisant, ça n'impressionne personne. Mon nom me précède comme un poison : je ne suis que le fils d'un politicien surexposé, efficace et pire que tout, respecté dans le milieu. Oh, j'aurais aimé que mon père ne soit pas si populaire. J'aurais aimé qu'il ne soit qu'un homme médiocre et corrompu, à qui le pouvoir est monté à la tête. Au moins, j'aurais eu l'occasion de montrer ma valeur. De prouver que je lui étais supérieur. Que je n'étais pas comme lui. Mais ce n'est pas le cas. Mon père est un homme remarquable, et je le hais pour ça. Personne ne lui connaît un seul travers et à moins d'être Jésus-Christ en personne, mon chemin est tout tracé : je ne ferai que marcher dans son ombre, quoi que je fasse. Et cette foutue lucidité, c'est le détail qui fout tout en l'air.

Alors oui, je m'ennuie dans cette vie. Et je ne peux même pas m'en plaindre, qui comprendrait ? A qui pourrais-je conter mes malheurs de gosse à qui tout réussit ? Caprices d'enfant gâté, qu'ils diront. Et ils n'auront pas tort. Il n'empêche que je suis aisément blasé. On se lasse de tout, même du meilleur. Dormir dans des draps Egyptiens hors de prix n'a plus aucune saveur après 21 ans. Porter des costumes hors de prix non plus. Il n'y a que les femmes qui représentent pour moi un exquis divertissement, un sacré challenge. Parce qu'elles sont toutes différentes. En séduire une, ne signifie pas en séduire des milliers et j'aime devoir revêtir plusieurs visages pour parvenir à mes fins. J'apprécie qu'elles me résistent. J'aime jouer l'homme romantique, le mec viril, le poète torturé, le garçon mystérieux... je suis celui qu'elles veulent. Je suis celui qui fait succomber même la plus récalcitrante. Je suis celui qui leur offre un bonheur éphèmère, l'extase à l'état pur avant de tout reprendre brutalement. Je suis leur jardin d'Eden avant de devenir leur bourreau. Et, honnêtement, c'est la seule chose dans ma vie qui m'offre un frisson d'adrénaline. Faut dire que je suis un type complexe. Légèrement misanthrope sur les bords. Le souci des gens brillants - catégorie à laquelle je pense appartenir - c'est qu'ils comprennent tout, trop vite. Je sais que la nature intrinsèque de l'homme est mauvaise. Je ne fais rien pour déroger à la règle. Mais connaître les tréfonds de l'humanité ne me donne nullement envie de m'impliquer émotionnellement avec quiconque. Je suis un solitaire et paradoxalement, bien contre mon gré, je suis toujours entouré. Je ne parle pas que des femmes, ne vous méprenez pas. Je n'ai pas besoin d'amis non plus. J'ai, au bas mot, quelques connaissances. On s'enfile scotch sur scotch. On joue au poker. On contemple des beautés exotiques dénudées dans des clubs de strip-tease sélect. On parle de nos conquêtes. Mais rien de plus profond, et ça me suffit. Pour les filles, c'est la même chose. Je suis un comédien. J'ingère leurs goûts, leurs préférences. Tel un caméléon, je deviens celui qu'elles désirent (si ma belle gueule ne leur suffit pas) et c'est dans la poche. Elles ne me connaissent pas davantage, et ça me convient amplement. Bien sûr, un jour ça changera. Quand je serai un politicien reconnu (officiellement, j'ai envie d'enseigner mais en réalité... je sais inconsciemment que je passerai ma vie à tâcher de supplanter mon géniteur), je prendrai une femme. C'est important pour l'image - et la réputation - un beau mariage. Fastueux. Je choisirai la plus jolie et la plus malléable des plantes et je la poserai délicatement dans un écrin doré duquel elle ne sortira plus jamais. Je ne l'aimerais sans doute pas, j'en ai aucune idée, mais elle ne sera qu'un précieux objet de valeur, une décoration indispensable dans ma vie.

Peut-être que j'ai l'air odieux. Ou goujat. Ou trop sûr de moi. Peut-être. Mais vous savez quoi ? L'avis des autres ne m'a jamais importé. J'ai passé toute ma vie à quémander le respect et l'attention de mon père et cette perte de temps m'a permis de passer outre le reste du monde. Vous compris. Oh, je sais, je ne raconte en rien ma première journée à New-York. Je vais tâcher de me rattraper... Celle-ci ne sera pas ma première journée mais plutôt... le premier jour du reste de ma vie. . Rien que ça. J'avais dix sept ans, et je venais d'obtenir mon diplôme de St Jude's, l'école privée dans laquelle j'étudiais. Mieux encore, j'étais major de ma promotion. Et accepté dans toutes les universités de la Ivy League dans lesquelles j'avais postulé. Bien évidemment, mon père n'était pas là pour ma remise de diplôme. Il avait un meeting au parti républicain et il ne pouvait décemment pas s'absenter pour si peu. Après tout, de nos jours, tout le monde parvenait à obtenir son diplôme haut la main, non ? A moins d'être sacrément demeuré. Oui, ce connard (je m'excuse encore une fois pour le vocabulaire peu châtié) parvenait même à minimiser mes succès. A côté de cela, à table, sans décoller son regard du New York Times comme si n'importe quel foutu article était plus important que l'avenir de son fils il assistait lourdement pour que je continue à Yale, New Haven. Lui même y avait fait ses études, comme son père avant lui et son grand père et... Je ne l'écoutais déjà plus. Il transformait chaque conversation en monologue dont il était le héros et c'était tout bonnement insupportable. L'écouter me relater pour la énième fois ses aventures à la fameuse société secrète des Yalies, la Skull & Bones, me donnait clairement envie de rendre mon déjeuner. Mais ce serait manquer de respect à Greta, la cuisinière Tchèque. Et comme j'étais enfin à deux doigts de la sauter, ce serait un choix assez peu judicieux, vous en conviendrez. Bref. Il voulait Yale. Je souhaitais Columbia. Quitter New-York n'était pas une option. J'étais un socialite dans cette ville. Tout le monde me connaissait. Me respectait. M'adulait. Me détestait. Me craignait. Je ne comptais pas tout abandonner. Oh, bien sûr, il m'aurait été très facile de tout reconstruire ailleurs, un véritable jeu d'enfant. Mais je ne m'étais pas encore lassé de mes nombreux jouets, merci bien. Et puis, sans l'avouer, j'étais dirons-nous, attaché à cette ville. C'est pourquoi je choisis Columbia. Ce fut une façon d'emmerder royalement mon paternel également, je l'avoue. Je ne suivais pas la tradition, pauvre de moi. Mais j'avais compris une chose : pour dépasser mon père, je ne devais pas foncièrement marcher dans ses pas. Il fallait que je trace mon propre chemin. Quitte à couper le cordon, autant le faire complètement, n'est-ce pas ?

C'est pourquoi j'abandonnai ma spacieuse chambre, ma famille, le personnel et la délicieuse Greta (non sans l'avoir prise sur le plan de travail auparavant, bien entendu) pour une suite à l'année à l'Hôtel Plaza. J'aurais bien été incapable de m'en prendre en charge, n'était-ce pas le travail d'une femme ? Oui, j'avais l'audace d'être un macho invétéré, veuillez me pardonner mes offenses comme je... Vous connaissez la (lassante) chanson. L'excuse officielle, c'est qu'à dix huit ans, j'avais besoin d'espace et d'indépendance. Et de silence pour travailler en paix. En réalité, j'avais simplement envie d'être chez moi. Et vivre dans un hôtel aussi luxueux est un piège à femmes absolument exquis. On dit que femme qui rit, à moitié dans ton lit. C'est d'une bêtise sans nom. Ce qui attire une femme, c'est l'argent. Oh, je parle pour vous, bien évidemment. Personnellement, je peux me targuer de posséder un physique irréprochable, un magnétisme omniprésent, une éloquence à toute épreuve et... une modestie incroyable, certes. Mais il faut bien l'avouer, du haut de ma suite au Plaza, devant la baie vitrée avec vue plongeante sur Central Park, un verre de scotch à la main j'avais l'impression de redécouvrir New York. Je me sentais tel le maître du monde : invincible. C'est pourquoi je considère cette journée comme ma toute première dans cette ville. Ma première en tant qu'adulte, du moins. »

Clyde avait vingt et un ans à l'époque et l'obligation de suivre une thérapie. Qui le lui avait ordonné ? Son père. La raison ? Sa façon immature, malsaine et tordue de consommer les femmes à outrance. Ce que l'on peut dire, c'est que cette thérapie se révéla inefficace dès lors que le jeune homme se mit à baiser sa psy, aussi bandante qu'elle pouvait s'avérer salace. Ce goût pour la chair venait du profond ennui que Clyde ressentait en permanence. Le vide des gens qui ont tout eux. Le syndrôme gosse de riche. Les femmes avaient une saveur particulière parce qu'elles étaient différentes. En séduire une ne voulait pas dire en séduire cent. Ce qu'il appréciait plus que de raison ? Séduire une jeune femme et sentir ses barrières s'abaisser une à une. Il aimait à rencontrer une jeune effrontée assez peu disposée à écarter ses cuisses en sa présence - quelle folie de se refuser à lui, n'est-ce pas ? - et la faire changer d'avis sur la question. Ce n'est même pas tant la sauter - pardon, lui faire l'amour - qui lui donnait le plus de plaisir. Non, c'était la traque. Clyde aimait les convaincre. Il appréciait de voir leurs yeux s'embuer de désir et leurs "Non" autrefois si catégoriques ne devenir qu'une complainte lancinante sans conviction... Un délice à chaque fois. Et puis, Clyde a finit par s'en lasser aussi. Tout était facile, facile et trop facile. Jusqu'à ce qu'il la rencontre, elle. Elle ne l'aimait pas, il la désirait ardemment. Elle était barge et poétique et avec elle, il ne s'ennuyait jamais. Tant et si bien que si il la congédia violemment après l'avoir sautée, il la reprit dès lors qu'elle vint s'échouer à ses pieds, sans fierté aucune. Une relation destructrice et torturée qui s'acheva aussi subitement qu'elle a commencé après trois ans de bonheur à l'état pur. Clyde avait vingt cinq ans, une thèse en cours et une réputation à conserver immaculée. Maintenant qu'il était entré en politique, fini les sauteries et la baise sauvage n'importe où. Du moins, pas à NYC. C'est pourquoi il fit la Cour et épousa une jeune femme de (très) bonne famille - noble, mais ruinée - , à la beauté classique. Il ne l'aimait pas mais elle était folle de lui. Douce et malléable, parfaite. Elle deviendrait la garante de son image et en échange, il promit de lui offrir le train de vie auquel elle aspirait. Elle était matérialiste, lui aussi. Elle voulait des beaux bijoux, des vêtements, des voyages et des soirées mondaines, il désirait une jeune femme malléable pour son image et un vagin à disposition en privé. Bien sûr, Clyde prenait des maîtresses, il avait des besoins et sa femme ne lui suffisait pas. Mais putain, aucune n'avait le goût de paradis auquel il avait goûté avec cette fille instable et totalement folle.

Voilà où en est l'un des plus jeunes beaux partis de NYC : rangé par obligation, pas franchement heureux dans sa vie, à bosser d'arrache pied pour tenter de dépasser un père qui ne l'aimera jamais à sa juste valeur. Et tous les étés, la même rengaine : les vacances dans la maison familiale des Hamptons avec son épouse névrosée et beaucoup moins innocente qu'elle n'en a l'air. Génial, n'est-ce pas ?


Spoiler:



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    Pseudo/prénom ♦️ Appelez moi comme bon vous semble. hinhin
    Age réel ♦️ Compris entre dix huit et vingt cinq.
    Avatar ♦️ Sebastian HOT Stan
    Où avez-vous connu le forum ? ♦️ Bazzart, comme tout le monde.
    Autres ♦️ Les Hamptons quoi I love you



IL EST POSSIBLE DE CHANGER MON NOM POUR FITZGERALD PAR PITIE ? han


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MessageSujet: Re: Clyde ♦ L'homme véritable veut deux choses : le danger et le jeu. C'est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux.   Clyde ♦ L'homme véritable veut deux choses : le danger et le jeu. C'est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux. Icon_minitimeMer 13 Juil - 19:12

Welcome !!
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Clyde Fitzgerald

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Merci I love you.

Je crois avoir fini. 49
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J'aimais beaucoup Keaton, mais je vais changer quand même 45

Bienvenue et je valide donc I love you
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Clyde Fitzgerald

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Moi aussi, mais associé à Clyde ça fait trop de [k] comme sons, je trouve Arrow.

Merci I love you. J'ai rarement rempli une fiche aussi rapidement, ça veut dire beaucoup. 49
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