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 (F) we could be heroes, just for one day - réservée

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Jasper Donahue

Jasper Donahue


Messages : 50
Date d'inscription : 24/07/2011
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MessageSujet: (F) we could be heroes, just for one day - réservée   (F) we could be heroes, just for one day - réservée Icon_minitimeSam 30 Juil - 15:31

C'est au choix, 25 ANS.
feat. emmy rossum


(F) we could be heroes, just for one day - réservée Tumblr_lngzmq4FSK1qj02teo1_1280
(c) emmyfans@tumblr


    Traits majeurs de son caractère ♦ Spontanée, légère, douce, hyperactive, fragile, susceptible, rancunière, complexe, curieuse, impatiente, sociable, ambitieuse, téméraire, et puis tout plein d'autres choses au choix.

    Relation entre vos deux personnages ♦

    Citation :
    10 juillet 2006, la rencontre.
    Elle est là sur cette plage, à courir après cet objet volant, et moi je ne peux pas m'empêcher de rester passif à la contempler. Qu'elle constate mon voyeurisme qu'importe, mes yeux n'arrivent pas à se détacher d'elle et je crois qu'ils vont brûler face à cette beauté. Son rire. Son rire, il envahit la plage comme un vent d'air frais pendant une canicule. Alors que la plage est bondée, moi, je ne vois qu'elle. J'aimerais tout savoir d'elle, son prénom, son parfum de glace préféré, le film qui la fait le plus pleurer, la localisation de ses grains de beauté. Signe du destin, je reçois le frisbee vers ma tête, et j'ai plus peur non. Qu'elle me rit au nez, qu'elle refuse ce rendez-vous, qu'elle ne me veuille pas. « Dîne avec moi, ce soir. » « Et si je n'ai pas envie ? Si j'ai autre chose de prévu? » « Ta sœur a failli me décapiter avec votre frisbee, je pense que tu me dois bien ça. » Elle sourit, et je me demande alors si elle se rend compte de combien elle me fascine. Du pouvoir qu'elle exerce sur moi uniquement en me faisant le plaisir de me sourire. Et puis elle dit oui.

    Citation :
    30 août 2006, la première séparation.
    J'aimerais la prendre dans mes bras et la consoler, l'embrasser pour cesser ses larmes, mais je suis trop paralysé pour faire quoique ce soit. La sentence est trop dur, la chute trop violente, après ces deux mois de bonheur. Elle doit repartir, elle doit me quitter. Reprendre ses études, continuer à mener sa vie. Et si je n'étais qu'un amour de vacances ? Non. Ce n'est pas possible. Sa main vient caresser la mienne, et elle cherche une réaction de ma part, mais je ne sais pas. C'est comme si cette annonce avait actionné la touche pause dans tout mon corps. Et si je partais avec elle ? Et si on ne se quittait plus jamais ? L'idiot. « Je reviendrais pour les vacances de Noël. » « C'est trop loin. » « Pour Halloween ? » « C'est trop long.  » Elle m'embrasse, et je réalise qu'il faut que je profite des derniers instants avec elle. Ne pas montrer ma tristesse, me contenter d'embrasser ses larmes et la rassurer. Se rend-t-elle compte que mon corps tremble déjà comme un junkie en manque de sa drogue ? Elle m'a rendu fou d'amour et maintenant, elle file entre mes doigts.

    Citation :
    15 août 2009, la grande décision.
    Trois ans. Trois années que je suis véritablement heureux deux mois dans l'année. Et je crois que maintenant, je n'arrive plus à m'en satisfaire, je crois que je veux plus, continuellement plus. Du Poupi à toutes les sauces, du Poupi en hiver, du Poupi au printemps, du Poupi en automne. Du Poupi partout. Alors je la tiens dans mes bras, je la serre et je ne veux plus qu'elle bouge. Qu'on reste éternellement ainsi. Je lève sa tête, je lui embrasse le front, puis je remets quelques unes de ses mèches derrière les oreilles, par automatisme. Elle me sourit, et je comprends alors qu'elle ne réalise pas ce que je vais lui demander. Ce que je vais oser dire. « Reste avec moi, ne pars plus d'ici. » « Et si je n'ai pas envie ? Et si j'ai autre chose de prévu ailleurs ? » On se met à rire, on prend cette décision à la légère, comme des enfants. On agit comme si c'était une question banale, qui évitera les lourdes conséquences. Mais je m'en fous, parce que sa réponse, c'est tout ce qui m'importe. Et elle a dit oui, oui oui et à nouveau oui. Elle est restée.

    Citation :
    3 janvier 2011, la dernière séparation.
    Alors comment suis-je censé réagir ? Devrais-je sauter de joie en voyant ce test de grossesse positif entre ses doigts, alors que je suis en train de faire mon sac pour l'Afghanistan ? Se rend-t-elle compte que tout ceci n'a pas de sens ? Elle non plus, ne semble pas savoir comment réagir. Elle voudrait sourire, mais se retient, parce qu'elle voit bien que ma réaction n'est pas celle qu'elle espérait. « Depuis quand t'as arrêté de prendre la pilule ? Pourquoi tu me fais ça ? » « Je l'ai jamais oublié, je te jure ! C'est peut-être un signe, tu sais. » « On peut pas, Poupi, on peut pas, c'est pas possible. Je pars dans deux jours pour une année, tu ne peux pas me faire ça ! » Alors elle se met à pleurer, et j'aimerais lui offrir mes bras mais elle les refuse. A cet instant, je crois que je n'avais jamais fait tant de mal à ma Poupi. Et une partie de moi se brise aussi, en lui ordonnant d'avorter, mais ça, je ne peux pas lui dire. J'aimerais lui promettre qu'on aura des enfants, tellement qu'il faudra opter pour un minibus, mais ses larmes ont raison de moi. Je sais bien que dans la tête de Poupi, avorter c'est tuer une personne. Et au lieu de me rétracter, je lui demande de me promettre d'avorter. Poupi promet, mais je crois que je ne suis pas totalement soulagé. Il me semble que j'étais prêt à être papa, c'est peut-être ça le problème.



    Petit plus ♦ Lorsqu'elle arrive à son rendez-vous, elle se rétracte, elle hurle qu'elle ne peut pas tuer son bébé. Elle espère que Jasper lui pardonnera quand il verra la bouille de leur enfant: quand il constatera que leur enfant a le sourire de Jasper et les yeux de biches de Poupi. Ouais, elle l'avait imaginé cet enfant. Elle avait même déjà fait quelques achats, l'impatiente. Avait-elle songer une seule fois qu'il y avait un risque de fausse couche ? Jamais. Son enfant, elle l'imaginait si fort, comme son papa. Et pourtant, c'est ce qui est arrivé, elle a perdu son enfant. La seule personne qu'elle désirait à cet instant, était à l'autre bout du monde et n'était pas au courant de ce choix. ♦ La Poupi pleine de vie et pleine d'espoirs s'est évaporée quand elle a perdu son enfant. Elle est restée une semaine inerte, seule, dans son lit, à ne pas bouger, à ne plus comprendre l'intérêt de la vie. Puis elle s'en est remise, petit à petit. Mais elle en voulait à Jasper, elle le tenait responsable : s'il avait été là, elle n'aurait pas eu si peur, elle n'aurait probablement pas fait de fausse couche. Poupi, c'est une rancunière. Poupi, elle a besoin de se venger. Alors un soir, elle est allée dans un bar, elle s'est faite draguée, embrassée, et a couché dans le lit d'un autre. ♦ Elle aurait pu s'en contenter, mais elle a écrit une lettre à Jasper pour lui dire ce qu'elle avait fait. Du plaisir qu'elle avait apparemment eu. Et une fois qu'elle l'a envoyé, une fois qu'elle ne pouvait plus la récupérer, elle a compris les conséquences de ses actes, que Jasper ne lui pardonnerait jamais, et qu'en se vengeant ainsi, elle allait le perdre. ♦ Ils se sont finalement séparés par conversation vidéo sur Skype, la pire dispute qu'ils n'aient jamais eu, des larmes des deux côtés, sensation de trahison dans les deux camps. ♦ Poupi n'a jamais dit à Jasper qu'elle avait décidé de garder l'enfant, elle n'a jamais parlé du fait qu'elle a fait une fausse couche, qu'elle a eu l'impression de perdre son bébé. Peut-être aurait-il compati, peut-être il lui aurait pardonné. Mais elle ne peut pas, c'est encore trop difficile. ♦ Ils ne se sont pas revus depuis le retour de Jasper en Southampton. Elle ne sait pas qu'il est revenu plus tôt que prévu, n'est pas au courant de son traumatisme.

    Précisions ♦

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