♌ SOLSTYS. dis à ton cul d'arrêter de toucher ma main.

« Stop crying your heart out. »

(c) tumblr.

Nom(s) ♦ Masson.
Prénom(s) ♦ Solstÿs Jude.
Jour et mois, lieu de naissance ♦ 1/07 à New York.
Age ♦ 24 ans.
Nationalité ♦ Américaine.
Origines ♦ Américaines.
Statut ♦ En couple avec le célibat, apparemment.
Occupation professionnelle ♦ Professeur de danse.
Groupe ♦ Golden youth

Citation :

→ Mes parents m'ont toujours dis que j'avais commencé à danser avant de savoir marcher. Du coup, j'ai toujours dansé. De tout, toujours, sans m'arrêter. Et je pense que je finirai ma vie en dansant.
→ J'ai une peur bleue des clowns. Je trouve qu'ils n'ont rien de drôle en eux. Leur maquillage est atroce et leurs habits le sont d'autant plus. Leurs mimiques sont trop exagérées, bref, ils font pitiés et me font très peur.
→ Lorsque je me balade avec mon ipod dans les oreilles, il m'arrive de danser. Oui, comme ça, dans la rue. Je m'invente une chorégraphie et tous les gens me regarde mais je m'en fou, ma vie est un clip.
→ J'ai un tatouage dans le creux des reins. Fait durant mon escapade hors de New York. Il représente le prénom de Marlon en lettres chinoises. Il ne le sait pas et il ne le saura probablement jamais. J'ai l'air cruche mais je m'en fou. Il est tout ce que j'aime.
→ Je ne bois que de l'eau. Même en soirée. En fait, je n'aime rien d'autre. Bon, il m'arrive de parfois virer aux alcools forts quand ça ne va pas mais après tout, ils se boivent comme de l'eau..
→ Mes parents sont riches et me versent tous les mois un bon petit pactole sur mon compte. Mais c'est tout ce que j'ai droit d'eux. Je n'ai jamais rien attendu d'autre de toute façon. Ils ne se sont jamais occupé de moi.
→ J'ai l'air très sociale comme ça mais en fait, je suis assez coincée. Je n'accorde mon amitié et ma confiance qu'à très peu de personne parce que je pense que le genre humain est une bête égoïste et c'est tout. Du coup, je me renferme souvent sur moi même et j'aime cette solitude.
→ Quand j'étais petite, Marlon m'a offert un collier. Pas superbe mais je le porte encore.
→ J'adore lire de gros livres pendant les vacances. De bons gros livres d'auteurs connus ou pas. Lorsque l'histoire est bien, que je suis prise dedans, en deux jours je les termine.
→ Je joue de la guitare à mes heures perdues. Je suis encore débutante mais sans me vanter, j'y arrive plutôt pas mal.

Pseudo/prénom ♦ bullshit / Pauline
Age réel ♦ 18 ans
Avatar ♦ Leighton Meester.
Où avez-vous connu le forum ? ♦ Partenariat avec OTR.
Autres ♦ J'ai hésité longuement avant de m'inscrire, mais j'ai craqué. *out*

" Mon petit cœur d'amour de ma viiiiiie. " Il me regarde et me dévisage comme si j'étais une merde. Je sais qu'il n'aime pas lorsque je l'appelle comme cela mais moi, j'adore. Plus il s'énerve, plus je l'aime. Plus je lui fais honte, plus il s'énerve, plus je l'aime, plus il me donne envie de lui sauter dessus. " Arrête Jude, j'aime pas et tu le sais. " Oui je sais, et alors ? Je lui saute au coup, un grand sourire au bout des lèvres et tente de l'embrasser tant bien que mal. Il me repousse avec insistance mais mes sourires angéliques finissent par le faire céder. Je m'acharne sur son visage, lui vole plusieurs baisers et nous finissons par basculer sur son lit en nous embrassant fougueusement. " Toi et moi c'est pour la vie. " qu'il me susurre à l'oreille alors que nous partons dans d'énormes câlins. Je lui offre un de mes plus beau sourire, suivit d'un de mes plus doux baiser. " Bien sûr. " je réponds en passant à cheval sur lui afin de continuer ce que nous avons commencé.

" Ça va, je ne te dérange pas ? " Mes joues avaient rougis et je me sentais complètement bouillir de l'intérieur. La musique de la boîte bourdonnait dans mes oreilles et je me sentais carrément à l'étroit dans ma mini robe noire. Ma question s'adressait à Marlon, mon copain mais aussi à la blondasse collée à lui à baver comme une grosse chienne. Ils se retournèrent, Marlon complètement rouge et abasourdit, la pouffiasse avec un grand sourire et la main sur le torse de mon copain. " Je.. " il essaya de trouver une excuse mais rien ne vint. " Casse-toi " dis-je sur un ton très sec en direction de cette pauvre fille. Elle n'imaginait pas à qui elle avait affaire en s'attaquant à ma propriété. Enfin, ma propriété, ce mot est peut-être un peu fort, je ne devrais pas jouer ma possessive mais tout de même. Mes yeux lui firent comprendre qu'il était l'heure de lâcher prise et de s'en aller vite avant que ma main n’atterrisse dans sa face. " Tu t'amuses bien, ça va ? " dis-je à Marlon lorsque nous fûmes enfin seuls. " Non mais chérie.. " j'arquai un sourcil. Jamais un mot doux n'était sortit de sa bouche en ma direction. Je me surprends à sourire. Serait-il sérieux, du coup ? Il prend ma main et m'entraîne avec lui en direction des toilettes. " Vraiment, tu sais, je ne l'ai pas vu venir elle.. " il me fixe, je me sens mal, je vais chavirer. Ses yeux se plongent dans les miens et je me vois nager en lui. Il approche doucement son visage du mien, pose une main sur ma joue et colle ses lèvres contre les miennes. Je frissonne dans ma mini robe, je frissonne même du cœur. Cet homme me fait un effet pas possible.

Solstÿs a écrit:

Chéri, je t'aime. Je commence par la fin histoire de ne pas faire comme tout le monde et parce que tu mérites quand même mieux qu'une pauvre lettre écrite à la va vite sur le coin d'un bureau. Je ne sais pas d'où me vient cette envie de tout quitter, de tout plaquer. Je m'en vais, mon ange. Rien ne va plus et tu le sais, nous le savons tout les deux. Ma possessivité et notre amour nous auront détruit jusqu'au plus profond de nous. On ne peut plus continuer comme ça et je ne peux rester ici, près de toi, à me dire que chaque jour lorsque j'ouvrirai les yeux ( si jamais il se seront fermés ), je me trouverai à quelques mètres de toi sans pouvoir venir te voir. N'essaie pas de me retenir ou me contacter. Je reviendrai. Je t'aime toujours.

Je me suis enfuie. Pour ne pas faire face aux problèmes constants qui rongeaient notre couple depuis plusieurs mois. Nous nous étions promis à vie, peut-être nous étions nous trompés après tout. Je l'aime, c'est fatal, mais nous ne pouvons continuer ainsi, à nous battre constamment à coups d'insultes et d'assiettes. Je prends le large, je m'envole mais je reviendrai. En espérant que cette distance nous ait rapproché. Qu'il m'aime encore et qu'il veuille de moi. Que tous ces mal entendus soient loin de nous. Mais je rêve, je le sais très bien que je rêve. Il a surement refait sa vie après ces deux ans. Il a certainement trouvé la femme de sa vie ou pire, il a peut-être des enfants. Moi, j'ai dansé pendant deux ans, je me suis donné à fond et aujourd'hui je reviens ici, dans ma villa, renouer avec mon passé.

Bienvenue !