CHAMPAGNE FOR MY REAL FRIENDS ► EG (OVER)

Nom(s) Garnet, d'après son père.
Prénom(s) Elisabet. Elle déteste toute sorte de surnoms, Lizzie inclu.
Jour et mois, lieu de naissance Elle est née le treize décembre à Brooklyn, New York, plus précisément à Williamsburg où elle vit depuis sa naissance.
Age Elle est âgée de vingt ans.
Nationalité Américaine.
Origines C'est une américaine de pure souche. Du moins, elle n'a jamais entendu parler de quelques origines étrangères.
Statut Célibataire, (enfin c'est compliqué).
Occupation professionnelle Étudiante en Histoire, à Brooklyn elle multipliait les petits jobs et services pour gagner sa vie.

TEN THINGS WE'D LOVE TO HEAR ABOUT YOU.

Citation :

Ses parents, deux jeunes artistes sans-le-sou emménagèrent dans un petit appartement de Williamsburg, à Brooklyn, deux ans avant sa naissance. C'est sa mère qui, attirée par un désir cupide d'argent, demanda le divorce, laissant tomber sans scrupule mari et fille, alors que Elisabet était âgée de cinq ans, pour refaire sa vie avec un riche entrepreneur de Manhattan. Son père en eu le coeur brisé et la petite ne comprit jamais pourquoi sa mère l'avait abandonné, lui tournant le dos sans un regard en arrière ► Vivant chez son père, à Williamsburg, ils ont toujours lutté pour arrondir les fins de mois et pour vivre décemment ► Cela fait trois semaines maintenant que son père est mort des suites d'un cancer du poumon et Elisabet est toujours inconsolable à ce sujet ► Elle a emménagée avec la famille de sa mère, à South Hamptons, dans une de leurs nombreuses maisons. Découvrir cet univers dont elle ne soupçonnait pas l'existence, où tout n'est qu'opulence et prospérité fut un choc brutal pour la jeune fille ► Elle est rongée par le chagrin du décès de son père et par la haine qu'elle voue à cette famille dont elle n'est qu'une parfaite étrangère ► Sa mère est une femme cupide et avare dont le nouveau mariage n'était qu'intéressé. Ce n'est pas pour autant qu'elle pleure son premier mari décédé. À vrai dire, Elisabet ne reconnaît pas du tout en elle la mère qu'elle fut, toutes traces de ces années de misères semblent avoir disparu de la surface ► Têtue et obstinée, Elisabet l'a toujours été. Ces derniers temps, tout ce qui semble lui importer c'est de tenir tête à sa demi-soeur, jeter l'argent de son beau-père par les fenêtres et incommoder sa mère ► Elle n'a jamais autant changé que depuis le décès de son père. Cigarette à la main, elle arpente les fêtes du voisinage, emmaillotée dans des habits qu'elle aurait, encore un an auparavant, trouvés d'un prix exorbitant, n'ayant pour but que de jouer les débauchées ► Pourtant, dès qu'elle se retrouve seule, à l'abri de tous les regards, ce n'est encore qu'une petite fille, perdue dans un chagrin inconsolable et cherchant vainement à attirer l'amour des autres ► Elle tient très mal l'alcool, n'a jamais fumé autre chose que du tabac et ne s'est jamais retrouvée dans le lit d'un garçon depuis sa première expérience sexuelle, lorsqu'elle avait dix-sept ans, avec son copain de l'époque. Pourtant, devant ses nouveaux amis elle affirme tout le contraire ► Elle fut boulimique jusqu'à ses seize ans, mais semble avoir replongé depuis le décès de son père. Elle n'en a touché mot à personne ► Elle déteste la mer, le sable, les bains de soleil et tout ce qui se rapporte à la plage ► Pour l'apprivoiser, son beau-père lui a offert une Chevrolet Corvette C5 flambant neuve qu'elle rêve de balancer à l'eau ou de planter dans un arbre. En attendant, la voiture n'est pas sortie du garage.

I MUST HAVE TOLD YOU ABOUT THIS.

En posant ses pieds endoloris par le voyage hors de la voiture, Elisabet ressentit soudain le souffle brûlant du vent chaud sur son visage. Elle retint une grimace, tout en claquant violemment la portière derrière elle. La chaleur estivale n'était pas sa tasse de thé, elle la détestait tout autant que l'odeur saline de la mer qui vint lui chatouiller les narines. Elle s'enfermait toujours au frais de son appartement durant les été chauds, à Brooklyn, s'éventant avec la première feuille de papier qui lui tombait sous la main lorsque la capricieuse climatisation lâchait - toujours au moment le plus propice d'ailleurs. Ici on l'appréciait, la chaleur. Elle savait pertinemment qu'elle ne s'y plairait jamais. Et encore, s'il n'y avait que la chaleur. Le front plissé sous la lumière aveuglante du soleil, elle décocha un regard noir à son beau-père qui venait malencontreusement de faire tomber sa valise. Elle ne l'avait jamais rencontré auparavant, elle ne l'avait jamais particulièrement souhaité. Que sa mère l'ait épousé pour son argent, Elisabet pouvait le comprendre, car ce devait-être là bien la seule chose qui eu fait de lui un bon parti. Ses traits grossiers luisaient sous la sueur dégoulinante de son front et sur son crâne dégarni, les cheveux se battaient en duel. En outre, il s'était donné bien du mal pour rendre le voyage depuis Brooklyn agréable à la jeune fille. Politesse sur civilités, elle l'avait laissé parler durant tout le trajet et s'était délecté de chaque blancs dans ses monologues, dont les silences tendus avait manifesté chez lui un grand embarras. Il n'avait alors cessé de gigoter avec gêne sur le siège conducteur, ouvrant la bouche toutes les trois minutes, sur le point de débiter quelque phrase bonne à combler les vides, mais il se ravisait avec peine au dernier moment. Lorsqu'il avait évoqué l'étendue et l'élégance de leur demeure, il n'avait à première vue pas menti. Demeurant là où elle s'était arrêtée après avoir refermé la portière de la voiture, Elisabet resta bouche-bée devant le spectacle qui s'offrait à elle. Montée sur deux étages, la maison s'ornait d'une façade d'un blanc cassé dont la pierre avait été polie avec douceur, surmontée d'une toiture d'un traditionnel gris ardoise. Mais ce n'était pas tant la maison en elle, mais plutôt les artifices de fleurs, d'arbustes et de buissons dont les milles effluves formaient un parfum à vous faire tourner la tête. « Ouais, faut dire, ce n'est pas Brooklyn ici », tempêta une voix narquoise devant elle. S'arrachant à la contemplation, Elisabet leva le nez vers la nouvelle venue, une blonde au nez retroussé dont le visage pâle était parsemé de tâches de rousseur. La blancheur de sa peau frappa tout de suite Elisabet, qui pensa tout de suite à la sienne, d'une teinte translucide, qui lui donnait parfois un air maladif. Au téléphone, sa mère l'avait prévenue, elle ressemblait comme deux gouttes d'eau à sa demi-soeur et, bien que cette idée la répugnait, elle était obligée d'y consentir. Plus ou moins. Ignorant la remarque hautaine de la demi-soeur en question, elle emprunta le chemin de gravier, dont les côtés étaient gardés par une rangée de haies parfaitement taillées. Sur le perron, sa mère l'attendait, bras croisés sur la poitrine. Lorsqu'elle croisa son regard, Elisabet comprit tout de suite qu'elle ne se donnerait pas la peine, au contraire de son mari, d'user d'une courtoisie inutile. « Je ne crois pas t'avoir entendu saluer ta soeur » , fit-elle remarquer d'un ton distant, alors qu'Elisabet approchait de la porte d'entrée. Demi-soeur pensa la jeune fille, avec mauvaise humeur « Je ne crois avoir été présentée non plus », gronda t-elle, tout en soutenant son regard. Sa mère lui adressa un sourire qui ne trompait personne. Alors, sans crier gare, elle s'avança pour étreindre sa fille avec force. Profitant de la proximité, elle lui glissa doucement à l'oreille « Toutes ces années ne t'ont point changée, tu es le portrait craché de ton père. Seulement, sache une chose, ici c'est pas la banlieue où on trinque avec un verre à moutarde dans un deux pièces d'occasion de retour du pressing. Tu es ma fille et j'ai su faire preuve de bonté en te tirant de la misère dans laquelle t'a laissé ton père. Maintenant c'est à toi de faire un effort pour te comporter en dame, avec dignité et bienséance. Et n'oublie pas une chose tout en franchissant cette porte, ici c'est pas ta famille, ma douce, c'est la mienne. » Sur ces paroles cinglantes, elle la repoussa avec douceur, un sourire chaleureux tordant ses lèvres serrées. Elle avait toujours les deux mains posées sur les épaules de sa famille lorsqu'elle murmura d'un ton suave « Sur-ce, je suis sûre que nous allons être de grandes amies toi et moi. Oh, tu vas te plaire ici. » Alors que son mari et leur fille venait les rejoindre, valises à la main, Elisabet se dégagea de l'étreinte de sa mère et passant le seuil de la porte, elle chuchota d'un ton noir à elle même, prenant soin de ne laisser personne entendre « Oh, ça ne fait pas l'ombre d'un doute. »

GOD, YOU'VE MISTAKEN ME.

Pseudo/prénom Quokees, mais appelez-moi Inès
Age réel Seize ans.
Avatar Karen Gillan
Autres Je réfléchis à un truc intelligent

INES INES INEEEEEES Dis, tu m'épouses ? Non parce que toi + Karen ...

Karen Inès

Bienvenue ! Je réserve la belle

KAREN

Oh qu'elle est belle

WELCOME

C'EST QUI LA PLUS BELLE? Non mais Karen fait un effet, c'est fou
MANOOOOOOOOON, YES I DO TERESA
Gloomy, avec Emma, aaargh, je me meurs devant vos avatars (Merci pour la réservation au passage )
Merci à tous

Si des gens recherchent des liens et tout ça, n'hésitez pas, on peut voir ça par MP, je n'ai pas encore d'idée précise pour mon perso

Si tu veux on peut essayer de voir pour un lien ;D

Jolie Karen
bienvenue !

Avec plaisir Tristan, on peut réfléchir à tout ça par MP
Merci Maelys, et je retourne le compliment à Amber

Bienvenuuuue.

Max Merci

Bienvenue

Merci à toi

INES.

Trooop belle cette Karen

Romane, avec Alex
Je retourne le compliment à Lyndsy, Bonnie

Bon, je crois avoir terminé ma fiche en espérant que tout soit en ordre

Merci