EMERSON ▲ be my bitch.

« Destiny is for losers. It's just a stupid excuse to wait for things to happen instead of making them happen »

(c) fuck yeah blake lively tumblr.

Nom(s) Bentley.
Prénom(s) Emerson Cora
Jour et mois, lieu de naissance 21 août 1986, irlande.
Age 25 ans.
Nationalité américaine.
Origines anglaises.
Statut Célibataire, mais fréquente quelqu'un.
Occupation professionnelle saisonnière ans une boîte de nuit.
Groupe middle-class workers

Citation :

▲ Elle ne sait pas siffler. Nul, n'est-ce pas. Depuis son enfance, elle est incapable de le faire. Elle a beau essayer en tordant sa bouche dans tous les sens possibles, sans succès.

▲ Elle est la plus mauvais cuisinière sur terre, elle fait tout cramer. Elle est carrément une catastrophe culinaire sur deux pattes. Si vous voulez survivre, commander chinois plutôt, et vous aurez la vie sauve.

▲ Elle ne mange que les smarties bleus. Ce sont toujours ceux en minorités dans les boîtes. Autrement dit, ils font exprès de mettre beaucoup plus de violets. Non, mais qui aime le violet. Sérieusement. C'est une conspiration, je vous dis.

▲ Elle grimace lorsqu'elle voit des fruits de mer, ça lui donne un haut le coeur. Surtout les crevettes. Ces trucs avec des yeux globuleux et ces petites pattes. Beurk.

▲ Sa lubie est l'écriture, elle adore écrire. Elle a d'ailleurs plusieurs manuscrits rangés au fond de son placard qu'elle n'a jamais osé montrer à une maison d'édition par peur d'essuyer un refus.

▲ Elle adore également la littérature française. Elle en mange. Voltaire. Molière. Victor Hugo. Montesquieu. Zola. C'est un aspect de sa personnalité que personne ne connait.

▲ Elle raffole des vieux groupes rocks. Tels que les beatles, les rolling stones, u2, led zepplin, les ramones, pink floyd. elle ne s'en lasse jamais. Comme quoi les classiques ne se démodent jamais.

▲ À son adolescence, elle se rebella contre l'autorité de ses parents et fuit. Lors de cette rebellion, elle décida de souiller son coprs avec des tatouages. Un oiseau déployant ses ailes ainsi que le mot believe sur l'omoplate gauche. Ainsi que les mot never a failure, always a lesson tatoué le long des côtes.

▲ Elle est polyglotte. Ses parents lui ont fait suivre des cours. Elle parle le latin, le grec, l'espagnol, le mandarin et d'autres langues anciennes. Elle sait également danser le salsa, la valse, le ballet, les danses de salon. Jouer au tennis. Faire de l'équitation.

▲ Lorsqu'elle était enfant, Emerson avait pitié de ces pauvres bestioles qui venaient s'échouer dans sa piscine. Trop altruiste, elle se faisait un devoir de leur venir en aide. Une par une, elle les sauvaient d'une noyade certaine.

Pseudo/prénom Clumsiness.
Age réel Majeure au quebec, mais pas assez pour être majeure partout.
Avatar Blake Lively
Où avez-vous connu le forum ? Via bazzart, le magnifique.
Autres Je tente pour le scénario de Clyde

I MUST HAVE TOLD YOU ABOUT THIS.

Je me suis mariée à l’âge de huit ans. Je m’en souviens comme si c’était hier. Oàkley fut l‘heureux élu qui avait eu le malheur d‘habiter à quelques pâtés de maisons. Il était réfractaire à cette idée de mariage - réaction typiquement masculine - mais comme ce jour-là il n'avait rien de mieux à faire, il accepta. Ma soeur, Birdie, avait tout prévu dans les moindres détails comme une vraie maniaque, rien n‘était laissé au hasard, et bizarrement je n‘étais pas étonné. Birdie, de deux ans ma cadette, avait présidée la cérémonie, elle n‘avait pas été dure à convaincre étant donné qu‘elle était facile à corrompre. Une sucette à l'orange et le tour est joué. Nous nous étions réunis dans le jardin. Pour cette occasion j‘avais dû forcer Oakley à porter ses plus beaux habits, lui qui ne se séparait jamais de ses shorts khaki, ça avait été un cauchemar de le convaincre que khaki ne faisait pas partit des couleurs que j‘avais choisies pour le mariage! Et moi, arborant ma robe fleurie, dire que j‘avais piqué une crise et réussis à faire couler quelques larmes pour l’obtenir, comme ma mère détestait les scènes dans les magasins, elle me l’avait achetée. Moi, cheveux balayé par le vent, et lui, tentant de dissimuler la tâche sur son pantalon, avancer à la même cadence.

BIRDIE- Nous sommes réunis ici pour honorer l’union de Emerson et Oàkley. Ma soeur prit une pause, elle avait sans doute de la difficulté à lire les quelques lignes que j’avais rédigées. Alors, vous Emerson Bentley, acceptez-vous de prendre Liam-Oàkley Burden, pour le meilleur et pour le pire jusqu’à ce que la mort vous sépare ?

J’acquiesçai en ne sachant aucunement ce qu’était la vie d’une femme mariée. D’ailleurs, j’étais plus que certaine qu’il ne se doutait pas des joies de la vie conjugale, moi non plus d’ailleurs, enfin, pas à cette époque.

BIRDIE - Et vous, Liam-Oàkley Burden, acceptez vous de prendre Emerson Bentley, de la chérir, jusqu’à ce que la mort vous sépare ?

À son tour il opina, sans plus. Nous étions des nouveaux mariés, pour le meilleur et pour le pire, jusqu’à ce que la mort nous sépare. C’est alors que nous nous échangeâmes les alliances, à cette époque nous avions prévu d’utiliser des ring pops - vous savez, les anneaux de plastique surmontés d’une sucette hexagonale qui désignait un diamant, à diverses saveurs - une au melon d’eau pour moi et une au raisin pour lui. C’est alors qu’il me passa la bague au doigt, et je fis de même.

BIRDIE - Je vous déclare mari infâme, vous pouvez embrasser la mariée

Comme à nos oreilles, mari et femme sonnait juste, je n’avais pas pris la peine de vérifier, étant plus préoccupée par le gateau de mariage. Mais la consonance était la même. Puis, Oàkley s’est approché de moi et je me suis approchée. Timidement, nos lèvres se sont touchées à peine trois secondes. Nous comptâmes. Un Mississippi, deux mississipi, trois mississippi. J’avais lu dans un magasine qu'un baiser devait durer au mois le temps de dire trois mississippi. Oàkley était septique à ce sujet, je le voyais. Mais après-tout, j’étais l'experte des magasines féminins. Puis, lentement son regard dévia, puis se fixa sur son annulaire qui portait cette magnifique bague au raisin qu’il ne put s’empêcher de lécher.

EMERSON - Hey, ne lèche pas ta bague, c’est ton alliance de mariage!

Je regardai la friandise violine qui ornait son doigt. Il avait vraiment envie de la manger. Réfréner toutes ces pulsions relevait de l'impossible chez lui. Il ne pouvait pas faire appel à de telles forces, je le savais. Quel homme faible!

OÀKLEY - Tu sais aussi bien que moi que je ne réussirais pas à la contempler toute la journée alors autant en finir maintenant!
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EMERSON - Crétin!
OÀKLEY - Espère de rousse sans cervelle!
EMERSON - Idiot! Eh puis je ne suis pas rousse d’abord!
OÀKLEY - Espèce de rousse, sans cervelle!

C’en était trop, proférer des insultes que je savais fausses, d’emblée, ça passait, c’était même très drôle à entendre surtout quand je savais que c’était des paroles en l’air. Mais s’attaquer à mes cheveux, c’était aller trop loin. Franchement. Sa coupe de cheveux était absolument affreuse et j’avais honte lorsque nous étions en public, mais je ne lui disais pas pour autant, à ce que je sache. Je croisais mes bras et lui tourna le dos. Envahi par une vague de culpabilité, il se postait devant moi, et ajouta d’une voix accablée.

OÀKLEY - Aller on fait la paix et on scelle notre amitié avec une poignée de main.
EMERSON - Non merci, je sais très bien ce que tu fais avec ta main, très peu pour moi.

Il se tut alors et me vrilla de ses prunelles verdoyantes. Il soutenait mon regard. Son visage n’avait pas la même expression sereine que d’habitude. Quelque chose clochait. Il arborait une mine inquisitrice. Bizzard, très bizzard.

OÀKLEY - Hey Em!
EMERSON - Ouais?

OÀKLEY - Tu veux m’épouser?
EMERSON - Tu te moques de moi?
OÀKLEY - Non, je suis sérieux, t’es la femme de ma vie, alors je veux t’épouser. Je te promets de toujours être là pour toi et de te rendre heureuse. Parole de scout.


À la suite de quoi, il sortit de sa poche, une petite boîte bleue, ornée de motifs ancestraux. Il ouvrit la boîte et je ne pus m’empêcher de retenir la larme qui perlait au coin de mon oeil. La boîte contenait une bague en plastique orné d‘un diamant en sucette. Comme à nos huit ans. Il n’avait pas oublié. Il voulait se marier. Avec moi. Moi. Je n’y croyais pas. J’avais vingt ans, j’étais complètement perdue. Paumée. Je ne savais pas ce que je voulais faire de ma vie, je n’ai jamais été certaine de rien, mais j’étais certaine d’une chose, il était tout pour moi.

Les semaines qui s’en suivirent furent des moments fugaces les uns à la suite des autres. Moments éphémères, qui en un battement de cil se terminèrent, brutalement. Ils furent comme des étoiles filantes: impossible à attraper et terminés en l'espace d'une seconde. En revanche. Je pus goûter à des fragments d'éternité. Je resterais à jamais hanté par ces nuits à marcher sous le clair de lune lorsque nous arrêtions pour enfoncer nos orteils dans le sable. Les défis que nous nous lancions. La nuit où nous avons fait rôtir des marshmallows et avons été surpris par la pluie. Ou bien encore cette fameuse soirée à la fête foraine, soirée où je fus certaine de vouloir faire ma vie avec lui. Tout ces moments étaient gravés dans ma mémoire.

Un certain 11 juillet 2004, ma vie bascula. Je ne fus plus jamais la même. Moi, qui à l’habitude était pleine d’entrain, souriante et pleine de joie. J’étais dépressive, je broyais du noir et je n’avais plus goût à la vie. Une heure passa. Puis deux. Trois. Il n’était toujours pas là. J’étais en colère. Comment avait-il pu oublier. Je détestais quand il était en retard. Puis, ma colère se dissipa pour faire place à de l’inquiétude. Mes doute se confirmèrent. Je reçu un appel de sa mère qui m’annonça que Oàkley avait fait un accident et qu’il était décédé. C’était impossible, Il était toujours prudente au volant. Je n’y croyais pas. Ça ne pouvait pas être lui. Ça devait être un autre. Je me rendis à l’hôpital. Arrivée à sa chambre, mes genoux se dérobèrent dès que je le vis. Je vis son corps inerte, étendu. Sans vie. L’infirmière me toucha l’épaule et m'offrit ses condoléances puis sortit. Une sorte de cancer avait gangrené mon coeur, s'y inscrustant comme un vieux chewing-gum collé en dessous d'une basket. Impossible à déloger. Le chagrin me rongeait jusqu'à me laisser vide de toute émotion. Je ne sais pas combien de temps, j’ai pus restée sur la sur cette chaise très inconfortable, à la fixer. Les yeux vitreux. Le regard vide. Oàkley était décédé. Il m’avait promis que l’on se marierait et qu’on fonderait une famille. Il m’avait menti. Il n’avait pas tenue sa promesse.

Bienvenue !

Sasha Bogart a écrit:

On attend la décision de Clyde (s'il décide d'attendre que la deuxième joueuse ait fait sa fiche pour décider on attendra également avant de te valider)