SOLVEIG ♣ next time, i'll be bravor, i'll be my own savior

« you know it's true. everything i do, i do it for you. »
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TEN THINGS WE'D LOVE TO HEAR ABOUT YOU.

Citation :: Solveig peut passer un nombre d'heures incalculables sans manger seulement parce qu'elle est plongée dans un livre passionnant • Depuis toute petite, elle nourrit un amour inconditionnel pour les chevaux • Pas mal de gens la prenaient pour une folle parce qu'elle parlait aux chevaux sauf que cela était fructueux en séance de dressage • Originaire de l'Écosse, elle ne regrette toutefois pas son pays puisque trop d'endroits lui rappellent ses moments passés avec ses parents • Aujourd'hui encore, elle ne comprend pas comment un couple qui s'aimait autant que ses parents a pu se séparer mais il s'avère qu'elle ne connaît pas toute l'histoire • Cadette d'une famille de trois enfants, elle a gardé contact avec son frère mais pas avec sa sœur • Elle est extrêmement méfiante avec les hommes, il faut qu'elle les connaisse depuis un petit moment pour leur faire confiance ce qui rend difficile les relations amoureuses • Elle raffole des Fraises Tagada et des Chocobons • Même si elle a quitté l'Écosse depuis l'âge de dix-sept ans, elle garde un accent très prononcé ce qui peut la mettre mal à l'aise • Elle possède un cheval, un Fjord qu'elle a appelé Biscuit • A dix ans, elle a fait une chute grave de cheval au point d'être immobilisée un certain temps mais elle s'est battue pour pouvoir remonter et elle le peut aujourd'hui • Elle n'aime pas son premier prénom alors elle ne révèle que le second, c'est-à-dire Solveig.

I MUST HAVE TOLD YOU ABOUT THIS.

Il neigeait à Glasgow ce qui était assez peu fréquent et le moins que l'on puisse dire, c'était que la famille n'en était pas toujours ravie. En effet, en ce qui concernait Solveig, elle n'aimait jamais autant sa ville que lorsqu'elle était recouverte de son manteau blanc. Cependant, ses parents ne semblaient plus avoir le goût de rien en ce moment. A une époque, ils emmenaient leur petite fille patiner dans le centre-ville mais c'était terminé. Solveig n'était plus la gamine naïve. Âgée de treize ans, elle était loin d'être aveugle et elle savait parfaitement que dans peu de temps, sa vie allait changer. Elle avait beau ne pas savoir exactement quand, elle s'y préparait quand même. Ainsi, la douleur se ferait moins puissante au moment venu. Solveig ? Où es-tu passée ? La jeune adolescente était installée dans un fauteuil près de la fenêtre, regardant les flocons se déposer un à un sur le sol déjà blanchâtre. Ses écouteurs dans les oreilles ne lui permettaient pas d'entendre son père qui l'appelait. Elle fut sortie de ses pensées lorsque quelqu'un lui enleva ses écouteurs d'un geste plutôt violent. Bordel, Solveig. Cela fait cinq minutes que Papa t'appelle. Tu attends quoi au juste ? C'est bon, je ne l'ai pas entendu, ce n'est pas la peine de t'exciter comme ça, James. Excuse-moi, petite sœur. Je ne suis tout simplement pas de très bonne humeur. Allez, vas-y, c'est important. Elle posa son baladeur (faute de mieux à l'époque) sur le rebord de la fenêtre. Elle déposa un léger baiser sur la joue de son frère afin de lui faire comprendre qu'elle ne lui en voulait pas de s'être emporté ainsi. Elle dévala les escaliers d'un pas rapide et rejoignit le salon où ses parents étaient installés. Ils lui firent signe de s'asseoir sur le divan face à eux. Leurs visages étaient graves et ils semblaient inquiets. Solveig de son premier prénom se demanda si le moment était alors venu. Solveig, nous avons décidé de divorcer. Solveig poussa alors un léger soupir. Le moment était donc vraiment arrivé. Elle porta le regard en direction de sa mère qui préféra baisser la tête. Pourquoi avait-elle honte ? Ce n'était pas atroce de ne plus aimer celui à qui l'on avait promis fidélité jusqu'à la mort. Aux yeux de l'adolescente, il était préférable qu'ils se séparent plutôt que de rester ensemble en fricotant chacun de leur côté. Solveig voulait surtout s'éviter de devoir tenir sa langue si, un jour, elle avait du croiser un amant ou une maîtresse de ses géniteurs. Hors de question de devoir affronter cela. Bien... Je peux retourner dans ma chambre ? C'est tout ce que tu trouves à dire. Et bien quoi... Tu as envie que je pleure ? Ne t'en fais pas, cela fait quelques mois que je me rends compte qu'il n'y a plus la passion dans vos yeux. A quoi cela servirait que vous restiez ensemble si l'amour n'est plus là ? Et oui, Papa, il faut te faire à l'idée, je ne suis plus une gamine. Il y eut quelques secondes de silence qui lui semblèrent durer une éternité. Tu peux y aller, ma chérie. Tiens, Solveig fut surprise que sa mère daigne répondre. Elle quitta la pièce et regagna sa chambre. Elle ne manqua pas d'entendre les débuts d'une dispute. Elle rejoignit son frère dans sa chambre, se laissa tomber sur le lit à ses côtés et fondit en larmes dans ses bras. Solveig avait toujours été bien plus proche de son grand frère, James que de sa grande sœur, Brittany.

Le divorce prononcé, Solveig déménagea en compagnie de sa mère et son frère pour rejoindre Southampton. Autant dire qu'il y a une différence flagrante entre l'Écosse et les États-Unis. Il fallut beaucoup de temps à la belle brune pour se faire à l'idée de ne plus voir son père et de ne plus connaître les environs de la maison par cœur. Après quelques mois passés dans cette ville, elle n'avait toujours pas d'amis. Tu sais, James, je crois que je ne parviendrais jamais à me faire une place dans cette ville. Les gens sont bien trop différents de nous. J'ai l'impression d'être au beau milieu d'un autre monde. Ils se comportent de manière si hautaine. Je ne sais pas si je le supporterais encore longtemps, tu sais. Elle se laissa tomber aux côtés de son frère dans le canapé du salon. Il coupa alors la télévision afin de prouver qu'il lui accordait toute son attention. Il la prit dans ses bras et se mit à lui caresser légèrement les cheveux. Ne dis pas des choses comme cela. Il est toujours compliqué d'arriver dans une nouvelle ville. On connaît ni un individu, ni un lieu mais c'est la découverte qui forge le caractère. Je sais qu'au fond de toi, tu as la capacité de tenir le coup. Laisse les gens, ne leur porte pas de l'attention et ils viendront vers toi instinctivement. Les paroles de son frère était souvent à méditer et ce ne serait pas pour cette fois l'exception. Ils restèrent ainsi en silence alors que Solveig réfléchissait à ce que venait de lui dire son frère. Ils se moquent... Ils se moquent de moi, James. Tu ne t'en rends peut-être pas compte mais moi, si. Je n'ai pas leur assurance, leur prestance... Je ne suis pas maîtresse de ses lieux. J'ai mon accent qui me trahit à chaque fois que j'essaye de me fondre dans la masse. James ne manqua pas de soupirer. Il se releva légèrement, l'incitant à se relever à son tour. C'est ça qui m'énerve chez toi ? Solveig fit de gros yeux, ne comprenant pas ce soudain énervement. Quoi donc ? Mais ça, ton putain de manque de confiance en toi. Tu n'étais pas comme cela avant, que t'arrive-t-il ? Parfois, j'ai l'impression que tu serais prête à renier tes origines juste pour pouvoir côtoyer quelqu'un... A partir de ce moment-là, elle ne l'écouta plus. Ses paroles raisonnaient dans sa tête mais son cerveau faisait comme un tri de manière à ce qu'elle ne porte pas d'intérêt à ces paroles balancées en bazar. C'est ce jour-là qu'elle comprit que James ne serait jamais capable de comprendre son mal être causé par le divorce de ses parents. Il ne pouvait pas comprendre qu'elle ne croyait plus en l'amour, qu'elle ne faisait confiance à aucun homme sauf lui, qu'une barrière invisible s'était mise entre elle et les hommes de manière à ce qu'elle ne parvienne pas à s'investir réellement dans uns histoire d'amour. Toujours célibataire, elle a eu des relations mais dès que la demande de mariage pointe le bout de son nez, elle fout le camp.

GOD, YOU'VE MISTAKEN ME.

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Salut les chéris. J'aurais besoin de votre aide pour l'avatar. Une jolie brune ou blonde qui ait entre 21 et 27 ans qui aurait beaucoup souffert du divorce de ses parents malgré ce qu'elle prétend et qui, de ce fait, a du mal à faire confiance à un homme...